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ET DEMAIN

La question du moment, si l'on s'en tient aux débats à la télévision est la suivante:"la grève prévue pour demain 29 janvier a-t-elle la moindre chance de faire avancer "les choses?" ou de manière plus abrupte:" ne risque-telle pas d'aggraver la situation déjà catastrophique en accentuant le chaos financier et social?"une remarque au passage. (f le message du 7 juillet 08 ).

Qui a dit?"Désormais, quand il y a une grève personne ne s'en aperçoit."

Comment la grève qui est l'expression même du droit à la liberté d'expression peut-elle déranger au point qu'il soit nécessaire de la cacher ou de l'empêcher par des moyens comme le service "minimum"? Certaines grèves ont pour enjeu des revendications syndicales très précises que les citoyens non concernés (du moins directement) ne comprennent pas toujours. La solidarité est loin d'être la vertu la mieux partagée. Pourtant, à certains moments le trop plein de mécontentement est fédérateur.Il paraît que "le roi est nu".Rien. Rien à donner au peuple mécontent qui travaille pour rien et ne peut plus rien acheter.Alors...rien ne sert de manifester:"les caisses sont vides!"Vous n'avez pas de pain? mangez de la brioche...vous n'avez pas de quoi vous payer des vacances? faites appel à vos amis qui possèdent des yachts et se feront un plaisir de vous dépanner.Enfin! ce n'est pas si compliqué, un peu d'imagination...

Nous, c'est sur des banderoles qu'on la défoule notre imagination, Monsieur le Roi nu!"

"Rendez-vous demain .On verra bien qui va s'amuser, et pour pas un clou!"

SNOW

snow overthere

Comme de la dentelle

E
en avant les raquette!

tiens un igloo...


L'allée disparaît sous la neige.

Suivez Cupidon!!!

Le soleil à travers les arbres. Mais où cela se passait-t-il?

Et bien...tout près de la mer.

A la recherche du coeur perdu

C'était le 5 janvier. En ouvrant les volets un écran de petits papillons blancs voltigeaient comme des plumes échappées d'un oreiller céleste; les anges étaient en train de mettre de l'ordre là-haut et ils y allaient un peu fort ou peut-être leurs oreillers commençaient-t-ils à battre de l'aile...

Euphorie. L'air piquant, et le spectacle du paysage qui s'encotonne (pourquoi pas?) et un peu plus tard, en tâtant prudemment le trottoir du pied, je me hasarde le long du canal St Martin. Même les pigeons avaient déserté les lieux et les bancs attendaient tristement les amoureux qui avaient gravé des coeurs sur le tronc des arbres.

Frozen hearts

La Fontaine est gelée.De battre, le coeur s'est arrêté.

Et j'ai des problèmes avec la liaison aux images.Là aussi, c'est gelé. Patience...Je ne lâcherai pas l'affaire.Promis ,vous aurez bientôt la suite.